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Les données d'entrée
Le premier traitement consiste à récupérer les données d’entrée nécessaires pour le lancement des modèles de qualité de l’air. Cela concerne quatre grands types de données
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Des modèles de la qualité de l'air
Au terme de cette phase préparatoire, qui permet de regrouper l’ensemble des données à fournir obligatoirement aux modèles de chimie-transport, les lancements des codes de calcul régional et tridimensionnel CHIMERE et MOCAGE permettent de déterminer heure après heure pour les quatre jours de simulation du J-1 au J+5 les concentrations des polluants atmosphériques – ozone, oxydes d’azote, particules en suspension –sur chaque point des maillages géographiques France et Europe. C’est au cœur des modèles que sont programmées des dizaines et des dizaines d’équations retranscrivant la dispersion et les processus physico-chimiques qui dictent l’évolution des concentrations d’une centaine de variables chimiques dans l’atmosphère.
L’exécution de ces modèles nécessite des moyens informatiques conséquents mobilisés au sein de structure de calcul informatique à haute performance et supervisés en 24/7 assurant une haute disponibilité des calculs.
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La production
Exécutions des taches de calculs opérationnels pour établir quotidiennement un ensemble de produits destinés à la surveillance de la qualité de l'air.
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La communication
En cas d’épisode de pollution annoncé, une analyse de la situation est réalisée par les prévisionnistes PREV’AIR et en synergie avec l’expertise de la prévision PREV’AIR en région faite par les AASQA, un bulletin descriptif de la situation est transmis au ministère en charge de l’écologie. Sous certaines conditions, les éléments de ce bulletin peuvent accompagnés des cartes de prévision PREV’AIR dans les médias.
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